«C’est la nuit que l’absence est terrible. C’est dans l’insomnie que se creuse la lucidité. Dans la journée, la médecine et l’écriture m’absorbent totalement. Dans la journée, je soigne d’autres corps ou en écrivant me soigne moi-même de l’Algérie, de la gangrène affective. Je ne vois pas le temps passer. Mais la nuit revient avec le désespoir d’un pays. Les élancements des amours fantômes. Les silences éreintés.»
M
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